Page test de la cure de bon augure – 1

Pour continuer à soigner, vaille que vaille,
belle réparties, vivacité d’esprit et gouaille.

 

 

• Qu’est-ce que tu vœux ?
• De quoi avons-nous peur ?

• Où est l’entrée ?

« Que ne cessent jamais les ondes de questionnement »
 Albert Einstein.

L’INCITATION HEBDOMADAIRE AU BON AUGURE
La bonne humeur ne fait pas automatiquement le bonheur…
… et c’est tant mieux !
Avec la bonne humeur, il faut y mettre du sien. Abonder dans son sens.
Se désobstruer de soi-même pour s’irriguer avec un peu de gaieté.
Penser un peu à elle, se rappeler à son bon souvenir.
S’en faire une alliée. Elle est souvent comme un jardin en friche.
Comme une parcelle de belle vie à irriguer.
Comme des semis à envoyer à la volée.
Des petites gouttes d’eau qui font les grands ruisseaux.
La bonne humeur, puissante assurance vie, doit être contractée.
Plus exactement décontractée. C’est 
un capital individuel et collectif
à haut rendement qu’il faut investir. 
Un contrat de garantie
pour son évolution et l’évolution de son entourage.
La bonne humeur, plus on la propage,
ne serait-ce qu’un peu, dans le corps social,
plus les niveaux de vie personnelle et collective s’en trouvent mieux.
Dans tous les cas, que les situations
soient négatives ou positives
, le retour sur investissement
d’un bon climat ambiant
 est inestimable.
Vous n’y croyez pas ?
Essayez donc la hargne, le mauvais gré,
le mécontentement constant, le dénigrement…
et voyez combien vont vous coûter les malheurs occasionnés
par ces humeurs chagrines, moroses ou querelleuses.
On ne vous remerciera donc jamais assez de bien vouloir
mettre en valeur le patrimoine universel de bonne humeur.

 

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