GARDER SON CALME AU MILIEU DE LA TEMPÊTE…
♦ Faut il tenir sa langue ?
♦ De quoi es-tu fier ?
♦ L’amour avec un grand A existe-t-il ?
• Faut il tenir sa langue ?
• De quoi es-tu fier ?
• L’amour avec un grand A existe-t-il ?
L’adage de la semaine…
« La meilleure façon d’entrer en contact avec une difficulté quelle qu’elle soit,
ça n’est pas de l’aborder comme un problème, mais comme un mystère :
mystère d’une grande beauté à élucider » — Perle de risée du matin.
♦ L’EXPÉRIENCE HEBDOMADAIRE DE PROFONDE BONNE HUMEUR
Quand la mauvaise humeur gagne, c’est alerte rouge sous le cockpit cérébral.
Le tableau de bord central clignote : ATTENTION DANGER !
Un mauvais climat peut si vite s’installer.
On ne s’entend plus. L’infection gangrène le couple.
L’empoisonnement pourrit la vie de famille.
La putréfaction des réseaux sociaux nous nécrose.
Le climat d’entreprise est mauvais.
Les réunions ne tournent pas rond. Plus le temps de se parler.
Se stresser. Se presser. Se comprimer. Fuir en avant.
On est tous condamnés.
Véritable contagion fétide qui se répand à travers les écrans.
La haine se propage. Les clans ont la rage.
Chacun devient une bande d’abrutis à lui tout seul. Je suis bien placé pour le savoir.
Une seule seconde d’inattention suffit. Le con que je suis est totalement pareil aux autres.
Ce qui n’est en rien un compliment pour les autres.
Oui, comme tout le monde, je suis au premier rang de ce que j’éprouve et, voyant midi à ma porte,
je peux facilement en me câblant devenir très accablant. M’exaspérer face à ceux qui, branchés sous pilotage automatique, programmés sous algorithmes, grattent les puces électroniques de leurs smartphones, sans réaliser que de mon côté je suis devenu ordi compatible sous Data System.
Alors quoi ?
La bonne humaine humeur, n’est-elle pas une forme de « permaculture » ?
En disant cela, je pense à Daniel, mon meilleur bras droit, celui qui tous les lundis participe à l’envoi sur les ondes de la cure de bonne humeur. Il s’est mis à récupérer tout ce qui peut se composter pour mettre de l’humus à la terre de son jardin.
C’est une philosophie d’action.
Mine de rien, il est éventuellement possible d’entretenir, non seulement à travers son jardin,
mais aussi dans tous les terroirs de sa vie, la prodigalité vitale, la fertilité mentale,
la cordialité sociale… et que sais-je encore.
Juste prendre soin de la chair de sa terre.
Juste renverser la tendance au désert, au tarissement des tarés.
À la compression des cons pressés.
Jouvence et longueur de temps font mieux que force et que rage.
Remettons les mains au jardin commun.
Cultivons un mode d’existence compatible avec la vie.
Pas la peine de se battre contre la monoculture ou la monotonie. Il suffit de composter.
La mauvaise humeur, c’est du bon fumier pour les légumes et les fleurs.
♦ L’INVITATION DE LA SEMAINE
La nouvelle édition de « L’intelligence, humorale vous connaissez ? »
vient de paraître.
« Une œuvre d’art et également un livre médicinal, des remèdes simples
et des évidences inédites à utiliser sur place dans sa vie de tous les jours.
Si on prenait le temps de remercier la vie on n’aurait plus une minute pour se plaindre. »
INDISCRÉTIONS :
Seuls vos achats en ligne,
j’ose le dire,
nous permettent de continuer d’œuvrer
en toute gratuité,
N’hésitez pas à participer
à ces gestes de premiers secours
à bonne humeur en danger.
La cure de bonne humeur 