LES PERLES-AUDIO DU LUNDI 02 DÉCEMBRE 2019

• Qui va nous protéger de la médiocrité ?
• Où sont passées les neiges d’antan ?
• Y a t-il des questions idiotes ?

• Qui va nous protéger de la médiocrité ?

• Où sont passées les neiges d’antan ?

• Y a t-il des questions idiotes ?

L’adage de la semaine…
« Tout est possible, même Dieu »
— Ernest Renan
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L’EXPÉRIENCE HEBDOMADAIRE DE PROFONDE BONNE HUMEUR

A et B – Extrémités d’un synapse avec floraison de son bouton
1 – mitochondrie
2 – vésicules synaptiques avec neuromédiateurs
3 – autorécepteur
4 – fissure synaptique
5 – récepteurs post-synaptiques
6 – canal calcium
7 – ouverture d’une vésicule
8 – capture de neuromédiateurs
!

• Des chiffres qui dépassent l’entendement *
Nombre de neurones dans notre cerveau : 100 milliards de neurones (soit 12 fois la population humaine mondiale !)
Nombre de synapses par neurones : de 500 à 20000 (inimaginable !)
Nombre de microvésicules synaptiques : non attribué.
Nombre de neuromédiateurs : 60 au dernier recensement, dont 12 vraiment répertoriés tels que : acétylcholine, noradrénaline, dopamine, sérotonine, GABA, histamine…
* cf perles audio du lundi 18 novembre

• Le développement personnel… car mutuel

Personne n’est unique son genre. Nous sommes tous conçus à la même enseigne.
Néanmoins, par le fait même que nos populations intimes de neurones soient différemment utilisées et potentialisées, et par l’art et la manière dont nos fluides jouent le grand jeu créatif de la continuelle genèse d’esprit ou le petit jeu restreint de l’esprit répétitif et uniformisé, chacun de nous reste irremplaçable. Chaque être humain est très précieux puisque reposent en lui des capacités nouvelles insoupçonnées. Des dons à révéler. Des habiletés latentes. Des sensibilités à confirmer.
Que se « passe-tilt » dans les sidérants flippers de nos échanges cérébraux ?
Qu’enclenchent nos mirobolantes humeurs de jeu en réserve ?
• Qu’est-ce qui nous enchaîne à nos neuromédiateurs inhibiteurs qui nous ramènent toujours au même moi-même ?
• Qu’est-ce qui nous engage vers nos audaces et nous inonde de flux libérateurs et de neuromédiateurs faciliteurs ?
Que de talents téméraires naissant en nous auxquels on ne s’attendait pas !
Que de prouesses en suspens !

La santé mentale et environnementale est à la fois latente et surgissante
Renversement des usages de toi et moi, de vous et nous, nouvelles conjugaisons de nos potentiels et de nos zèles investis. C’est beau comme un lundi quand on ne se pourrit pas la vie en début de semaine. 
Dans cette inextricable interdépendance de nos nerfs et de nos fluidités se trouve la plus petite fissure connue qui soit.
Quasi imperceptible. L’énigme des énigmes.

Rien qui ne fonctionne comme un interrupteur du type 0/1 ou comme un computer machinal.
Rien de systématique. Aucun cliché ni protocole à suivre.
Et soudain, c’est près de 1 000 à 2 000 molécules qui prennent les devants et bousculent nos arrières. Pourtant, ce n’est pas bien gros un synapse. C’est même tellement pas gros que personne n’a pu observer l’œuvre de cette secrète fulguration plasmatique. Aucun microscope électronique, aucune lunette nanoscopique n’a pu déceler les éclairs en nappe, les furtives exaltations en arborescences de la conscience, les polyphonies qui se jouent en nous sur toutes les gammes des effluves chimiques et électriques, et qui génèrent en nous et autour de nous des climats parmi les plus avenants ou les plus sombres et barbares qui soient.
En fait, il n’y a aucun mot pour exprimer ce potentiel en irruptions et en interruptions positives ou négatives ou créatives. Nous ne sommes pas totalement programmés. Le libre arbitre est quantique. Il peut sauter par dessus les plans plan-plan et rataplan.
Toute question, insidieuse ou inattendue, posée au débotté comme dans la curieuse cure de bonne humeur, met la pression et parfois provoque l’époustouflement afin de nous inspirer tout autrement. Il convient seulement de traverser le passage au noir.
De ne pas se précipiter sur l’armoire à mémoires des connaissances du tout-vu, tout-connu.
De traverser le miroir des réflexions convenues pour entrer dans les reflets des réfractions inconnues.

Changer de manière de se révéler pour changer le monde
Dans le fin humour des claires humeurs, les mémoires en source vive et leurs mélodies inouïes, les mots écoutés comme jamais, les rythmes dans l’inspiration, les soupirs et demi-soupirs, les staccatos et les rhapsodies des phrasées, des anecdotes oubliées et plongées dans l’humidité des larmes de rire et de pleurs, les nuances de possibilités les plus inimaginables, inénarrables avant même d’être narrées… surgissent à l’esprit.
Rien dans la gamberge, tout dans la godille et la pagaie.
La parole en direct de la bonne humeur.
Rien de docte ni de coincé.
Le « je-moi-même-grand-penseur-devant-l’éternel-statu-quo » descend de son piédestal.
En Belgique, il est une expression pour exprimer cette stupéfaction originale :
« être assis sur ses gencives ».

L’INVITATION DE LA SEMAINE
Découvrez avec bonheur que derrière les mots, les gestes,
les réactions les plus anodines,
se dissimulent des sagesses de toujours
qui redonnent du courage et de l’entrain.
Des guides très pratiques pour faire le plein de bonne humeur !

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Réécoutez les extraits de la semaine dernière…